J'ai identifié depuis longtemps l'un des coupables de la fin prononcée du Soleil.
C'est encore nettement désagréable de relire cette chanson, mais non plus douloureux.
Une réaction exagérée, de ma part, une manie à interpréter et triple-interpréter les choses.
Oui c'était moi, alors.
Cependant, rien ne se décide en une phrase.
Cependant, l'exagération faisait partie du jeu, de l'absolu.
Cependant, il a toujours su les gérer, et toujours su écrire ce qui n'allait pas.
Ainsi rien ne se décide en une phrase, sauf si on le veut.
Ainsi c'est encore le, ce courage qui manquait.
Ainsi ma vie est-elle passionnante.
C'est moi maintenant.
La même. Et je me pardonne.